Il faut bien l'avouer, il s'agit d'un toute petite exploration, initiée par un repérage sur Maps. Il est tard mais nous marchons les 800 m nécessaires pour atteindre les deux édifices. En piteux état, ils sont avalés par le bois plongé dans le crépuscule.
Il ne reste plus grand chose de cette petite usine. Toitures et planchers se sont effondrés dans l'un des bâtiments. L'autre, dévoile un joli carrelage et une porte métallique bardée de compteurs et autres ampèremètres.
En bref, l'ambiance à la nuit tombée et à la lumière de nos torches est plutôt envoutante. Aucune information, cette usine semble ne pas avoir d'existence sur internet. Elle est là, au milieu des bois, comme si elle s'était cachée pour mourir.
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